Droit des affaires

La prévention avant tout

  • Pour les entreprises : services juridiques externalisés
  • La rédaction des contrats (sécuriser et anticiper)
  • Le contentieux

Services juridiques externalisés

Le Droit est une source de développement, de réussite et de sécurité pour l’entreprise.

Les conséquences d’une mauvaise décision sont trop importantes pour laisser la moindre place à l’incertitude.

Le cabinet vous propose en conséquence, un cabinet d’avocats réactifs qui comprend les enjeux de votre entreprise.

Afin que vous maîtrisiez le coût de ces services tout en bénéficiant d’une réelle expertise juridique et d’une parfaite connaissance des contentieux et donc de l’évaluation des risques, le cabinet fonctionne par abonnements mensuels (engagement sur douze mois après une période d’essai d’un mois) dont le montant est fixé en fonction du nombre d’heures.

Pour répondre au mieux aux besoins juridiques des entreprises, le cabinet propose un service juridique externalisé.

Ce service permet au professionnel de pouvoir solliciter par tous moyens le cabinet à chaque fois que cela s’avère nécessaire pour tout type de conseils juridiques (contrats à rédiger ou à analyser, attitude à adopter dans le cadre d’un litige à venir, modèles de courriers…).

De façon pertinente et réactive le cabinet vous apportera des solutions et non de simples conseils.

Confier votre juridique à des avocats expérimentés et rompus au contentieux afin de vous apporter les meilleures solutions.

Ainsi :

  • Appelez dès que vous en avez besoin nos avocats pour toutes questions juridiques,
  • Confiez-nous votre secrétariat juridique de société (AG, formalités greffe, modifications statutaires…).
  • Faites rédiger vos contrats (contrat de travail, baux commerciaux, contrats de partenariats, contrats de cession ou d’acquisition…) par des avocats qui, ayant une parfaite connaissance des procédures judiciaires et contentieuses, sauront éviter les clauses en votre défaveur.
  • Faites vérifier et valider les contrats qui vous sont proposés par vos partenaires.
  • Demandez-nous conseil en cas de litige, sur la façon d’agir et sur ce qu’il convient d’écrire ou pas…afin d’optimiser vos chances de succès en cas de contentieux.

Demandez-nous un devis !

Juridique

Prévention, rédaction de contrats

L’activité juridique de l’avocat consiste à analyser et/ou rédiger tous types d’actes ou de contrats juridiques (bail commercial, contrat de travail, statuts de sociétés, pacte d’associés, acte de cession ou d’achat d’entreprise, contrats de distribution…).

Le cabinet met à profit sa connaissance du contentieux et de la procédure, pour anticiper tout risque de conflit ou de litige, afin d’apporter une sécurité maximale à ses clients.

Comme nous connaissons le conflit et le fonctionnement des Tribunaux et de Juges, nous savons quels sont les pièges et quelles sont les clauses à éviter ou à ne pas oublier.

Nous rédigeons également ces clauses au regard de notre connaissance du conflit et de la procédure.

Il vaut mieux « prévenir plutôt que guérir ».

Tous les aspects du contrat et ses conséquences (fiscales, sociales…) sont abordées et analysées.

Acte contresigné par avocat

Article 1374 du code civil.

Afin d’apporter souplesse et sécurité juridique aux clients, le cabinet contresigne les actes et contrats rédigés.

En contresignant l’acte, l’avocat certifie :

  • qu’il a examiné l’acte et pleinement informé son client sur les conséquences juridiques de l’engagement qu’il prend,
  • que le client a signé l’acte en connaissance de cause, ce qui garantit la réalité et l’intégrité du consentement,
  • des parties et limite les possibilités de contestation ultérieure,
  • que les parties pourront se prévaloir de la validité de l’acte qui a valeur probante.

L’acte d’avocat renforce la sécurité d’un contrat et sa force probante, afin d’éviter le risque qu’il soit contesté ultérieurement.

La signature électronique de l'acte d’avocat

Une véritable valeur ajoutée. 

L’acte d’avocat électronique a la même force probante que l’acte d’avocat sur support papier et présente de nombreux atouts, parmi lesquels on peut citer :

  • La sécurité : la signature électronique permet, à l’aide d’un procédé cryptographique, de garantir l’intégrité d’un document numérique et l’identité du signataire.
  • L’économie : l’acte d’avocat électronique permet de signer un document sans l’imprimer (économie de papier), de l’envoyer par e-mail (économie de timbre) et de le signer sans se rencontrer (réduction des déplacements).
  • La simplification et la suppression de l’archivage papier : il accélère et simplifie largement le processus et permet de conserver le document au format numérique.


L’acte d’avocat électronique allie simplicité et relation technologique digitale de proximité, tout en garantissant un haut niveau de sécurité.

Le contentieux

La recherche systématique préalable d’une solution amiable

Dans le cadre de chaque affaire, le Cabinet met tout en œuvre dans un premier temps pour tenter de trouver une solution amiable souvent préférable à un procès, et ce tout en préservant les droits de ses clients.

Les courriers entre avocats étant confidentiels, cela permet des échanges sécurisés facilitant la recherche d’un accord.

Selon l’adage : « Un mauvais accord valant mieux qu’un bon procès ».

Médiation

Le cabinet offre également les prestations de médiateur permettant et facilitant le règlement amiable des litiges.

Procédure Participative de négociation (articles 2062 à 2067 du Code Civil)

Pour aboutir à une sortie de conflit, le cabinet propose aussi la mise en œuvre d’une procédure participative de négociation assistée par avocat, qui consiste dans le cadre d’une procédure conventionnelle (en dehors de toute saisine du Juge) à rechercher un accord.

Les parties par l’intermédiaire de leurs avocats, sont maîtres des modalités pour la recherche d’un accord.

Elles signent une convention, contresignée par leurs avocats (la signature électronique est possible), qui prévoit notamment un délai pour trouver une solution, et qui interdit (sauf fraude et urgence) de saisir le tribunal, et qui suspend toutes les prescriptions (article 2238 du code civil).

A l’issue du délai prévu par les parties :

  • soit un accord total ou partiel est trouvé et le protocole d’accord peut être soumis au Président du Tribunal afin qu’il lui confère force exécutoire.
  • soit aucun accord n’est trouvé, et dans ce cas, le Juge peut être saisi, ou l’accord n’est pas total, et dans ce cas seul la partie du litige non réglée amiablement est soumise au Juge.

Les avantages, sont :

  • La prévisibilité : la procédure participative supprime l’aléa d’un procès notamment en ce qui concerne sa durée
  • La sécurité juridique : la procédure est sécurisée par la présence obligatoire d’un avocat auprès de chaque partie ;
  • La confidentialité : cette procédure est soumise à une confidentialité absolue sur les échanges et les pièces communiquées. 


Ce n’est qu’en cas d’échec des négociations que la procédure et la saisine du Juge est alors envisagée.

Entreprises en difficultés économiques

N’attendez pas qu’il soit trop tard. Anticipez !

Apaiser les relations commerciales grâce au médiateur des entreprises

Les retards de paiement comme les difficultés liées au non-respect des clauses contractuelles ou à la rupture subite d’un contrat restent propices aux tensions relationnelles et contractuelles entre fournisseurs et clients.

Saisi directement en ligne par le dirigeant, le médiateur des entreprises intervient, en toute impartialité et indépendance, afin de débloquer la situation conflictuelle. Tenu à la confidentialité, le médiateur a pour objectif la résolution amiable du différend. Celle-ci peut se traduire notamment par la conclusion d’un accord négocié entre les parties ainsi que le rétablissement d’une relation d’affaires sereine.

Le mandat AD HOC et la conciliation pour négocier l'échelonnement des dettes

Pour faire face à l’accumulation trop importante des factures impayées, deux procédures de prévention sont proposées aux chefs d’entreprise : le mandat ad hoc et la conciliation. Elles ont toutes deux pour but de négocier l’aménagement du remboursement des dettes de l’entreprise auprès des principaux créanciers.

L’entreprise dont la continuité de l’exploitation est compromise au vu de sa situation financière, sans pour autant connaître l’état de cessation de paiements, peut adresser une requête au président du tribunal de commerce pour solliciter la nomination d’un mandataire ad hoc ou d’un conciliateur. Ce dernier aura pour mission d’assister le débiteur dans le cadre d’un règlement amiable et confidentiel du conflit sans s’immiscer dans la gestion de l’entreprise.

A l’issue du mandat ad hoc, l’accord élaboré par le mandataire puis négocié entre les parties, est signé par le débiteur et ses créanciers. Plus courte, la procédure de conciliation aboutit également à un acte négocié à l’amiable et conclu entre le débiteur et ses créanciers. Néanmoins, l’accord de conciliation fera l’objet d’une constatation par le président du tribunal de commerce ou d’une homologation devant le tribunal qui lui accordera la force exécutoire.

Prévenir la cessation de paiements par la procédure de sauvegarde

Lorsque l’entreprise est confrontée à des difficultés telles qu’elle ne peut plus les surmonter seule, son dirigeant a la possibilité, avant toute cessation de paiements, de demander l’ouverture d’une procédure de sauvegarde.

Cette procédure collective débute par une période d’observation destinée à dresser un bilan économique et social de l’entreprise. Un plan de sauvegarde est ensuite établi et arrêté par le tribunal dès lors que les chances de rétablissement de l’entreprise et de poursuite de son activité sont réelles.

Efficace, la mise en œuvre de la procédure de sauvegarde suspend certaines actions en justice à l’encontre de l’entreprise, assure le maintien des contrats essentiels à son activité et gèle son passif. Outre la publication du jugement d’ouverture de la procédure, la réorganisation de l’entreprise pour sauver l’emploi et apurer les dettes peut aussi s’avérer contraignante. Au cours de l’exécution du plan de sauvegarde, le dirigeant conserve la gestion de son entreprise mais sous l’assistance ou la surveillance de l’administrateur judiciaire.

Afin d’épauler au mieux les dirigeants d’entreprise, le Cabinet est mobilisé pour les informer régulièrement et les conseiller au cas par cas au vu des dernières évolutions réglementaires.

Des entreprises sont régulièrement sauvées de la faillite grâce à la mise en place, à temps, de l’une de ces solutions.

Les domaines d’intervention

du cabinet couvrent la majeure partie du monde professionnel et du monde des affaires :

Droit des sociétés

Constitution cession, fusion, pactes d’associés, conflits entre associés…

Droit commercial

Contrats de distribution de partenariat, recouvrement de créances, difficultés économiques, des baux commerciaux, concurrence déloyale…

Droit des marques

Dépôt et défense, rédaction des contrats de licence d’exploitation, de cession et de la propriété intellectuelle (droits d’auteurs…).

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